Aujourd'hui, je suis en pleine réflexion, pourtant c'est déconseillé pendant les congés ...mais bon, je fais un effort.
Hier, en postant un sujet dans une communauté google, on me fais remarquer que je dois arrêter de faire de la pub ! Peut-être est-ce justifié ?
Non, je ne crois pas, on fait de la pub lorsqu'on vend quelque chose. Pour l'instant je n'ai rien à vendre, simplement des compétences et une discipline à partager. Il ne faut pas confondre publicité et promotion.
Pour pouvoir arriver à partager cette discipline mais également comme je suis un informaticien curieux qui aime tester de nouveaux trucs, je me suis lancé dans l'alimentation d'un blog. L'exercice n'est pas simple. L'informaticien n'est pas forcement blogueur (et l'inverse non plus). Peut-être que ce n'est pas le bon moyen, le bon canal de diffusion. J'aurais pu créer une page sur Facebook, pourquoi pas ? ou utiliser un autre outil, ce n'est pas ce qui manque. Ou peut-être une communauté google ? Je ne sais pas s'il y a procédé qui est meilleur qu'un autre. Il n'est pas rare de voir certains blogueurs poster un même article sur leur blog, sur facebook, sur twitter ou d'autres réseaux sociaux. L'important est avant tout de diffuser une information, une idée. Sans parler de ceux qui ne font que du copier-coller et pour lesquels, il n'y a aucune valeur ajoutée.
Hors, dans mon cas précis, j'ai fais référence à un post, dans une communauté google, que j'avais rédigé sur mon blog. J'aurais également pu écrire directement l'article dans la communauté et simplement faire référence à mon blog en fin d'article (comme cela m'a été suggéré), mais quel est alors l'intérêt d'avoir un blog, autant tout écrire dans la communauté - mais c'est alors restrictif car seuls les membres de la communauté auront accès à l'article.
De plus, une communauté google est caractérisée par un thème bien défini et certainement pas aussi largement que les domaines que j'arpente au fil des jours. De même, toute personne qui veut s'informer ou échanger sur internet ne passe pas forcement par une communauté google (encore faut-il avoir un compte google). Ce qui fait qu'au final, peu de personnes passent par les communautés google pour échanger.
Plutôt que de parler de pub, j'estime qu'il vaut mieux parler de promotion, c'est à dire qu'il faut utiliser la bonne technique, celle qui permette de se faire connaitre. Libre à chacun ensuite de lire ou non, de participer ou non à ce que je publie.
Je pense que la diffusion et la circulation de l'information sur internet est un sujet important qui mérite réflexion et discussion (je vais me pencher sur le sujet en faisant bien attention de ne pas tomber).
Donc voilà pour cette fois, je me limiterai à poster mon article sur mon blog, il sera également visible sur mon profil google+...
...et peut-être que je serai le seul à le lire...
nous verrons bien
jeudi 28 février 2013
mardi 26 février 2013
Cap 2000
Aujourd'hui, le blog a franchi le cap des 2000 visites.
En trois mois d'existence, c'est pas mal !
L'aventure continue ...
En trois mois d'existence, c'est pas mal !
L'aventure continue ...
Avec l'informatique, on en met partout !!!
Aujourd'hui, grâce à nos moyens modernes de communication, grâce à l'informatique, grâce à internet et aussi à nos appareils électroniques en tout genre, on met un peu de tout partout, jusqu'à parfois ne plus s'y retrouver.
Petite histoire fictive, à titre d'exemple, mais qui a dû au moins m'arriver des centaines de fois :
Aujourd'hui, je me promène en bord de mer et j’aperçois un très joli coquillage (on est vraiment dans le fictif).
Comme j'ai toujours mon smartphone à portée de main, je prend le coquillage en photo (1er exemplaire). Ayant un compte dropbox, une sauvegarde automatique de la photo est réalisée dans le cloud (2eme exemplaire).
Comme il s'agit d'un smartphone sous android et que l'appareil est paramétré avec mon compte google, une copie de la photo est effectuée dans le cloud (avec Instant Upload) - 3eme exemplaire.
De retour à la maison, pour me rendre compte ce que donne la photo en grand, je télécharge la photo sur mon PC (4eme exemplaire). Je m’aperçois alors qu'il faudrait effectuer quelques petites retouches (contraste par exemple). Je me retrouve donc avec une nouvelle photo - la version modifiée (5eme exemplaire). J'ai gardé l'original, on ne sait jamais, au cas où je voudrais faire marche arrière.
Comme ma cousine aime bien les coquillages, je m'empresse de lui envoyer ma photo par mail. Il y a donc une copie de ma photo stockée dans les messages envoyés de ma messagerie (6eme exemplaire) et ma cousine, sans le savoir en possède maintenant un 7eme exemplaire.
Comme chat échaudé craint l'eau froide, j'ai investi dans un disque partagé et mes fichiers sont automatiquement sauvegardés tous les jours. Le lendemain, je me retrouve donc avec un 8eme et un 9eme exemplaire (l'original et la photo modifiée) copiés sur mon système de sauvegarde.
Entre-temps, ma cousine m'a répondu qu'elle trouvait ce coquillage superbe. De coup, voulant en faire profiter d'autres personnes, je décide de la partager sur Facebook et Google+ (et hop, 2 exemplaires de plus).
Bref, l'histoire pourrait encore durer longtemps. Tout cela pour dire qu'à partir d'une simple photo, et de mécanismes devenus très simples, j'ai généré une bonne dizaine d'exemplaires, et d'une photo de 2 Mo, je me retrouve maintenant avec une dizaine d'exemplaires qui pèsent plus de 20 Mo répartis en plusieurs endroits.
Ce que j'ai fais avec cette photo, je peux le faire avec 10, 100, 1000 photos ou plus encore. Ce que je viens de décrire devient aussi le quotidien de bon nombre de personnes qui veulent à un instant prendre une photo ou une video ou autre...bref des centaines, des milliers de fichiers numériques qui se retrouvent très vite un peu partout et cela sans vraiment y prêter attention.
Ajouté à cela le fait qu'aujourd'hui tout est clair, mais dans 6 mois ou un an, cela sera beaucoup moins évident : ou est passée la photo de mon coquillage, ou est l'original ?
La solution idéale pour éviter cela n'existe pas, peut-être un peu de discipline et de rigueur, mais je ne suis pas persuadé que cela marche à tous les coups. En général, on prévoit de faire du ménage ou du rangement quand on a un peu de temps, et çà, on en a de moins en moins ...
Petite histoire fictive, à titre d'exemple, mais qui a dû au moins m'arriver des centaines de fois :
Aujourd'hui, je me promène en bord de mer et j’aperçois un très joli coquillage (on est vraiment dans le fictif).
Comme j'ai toujours mon smartphone à portée de main, je prend le coquillage en photo (1er exemplaire). Ayant un compte dropbox, une sauvegarde automatique de la photo est réalisée dans le cloud (2eme exemplaire).
Comme il s'agit d'un smartphone sous android et que l'appareil est paramétré avec mon compte google, une copie de la photo est effectuée dans le cloud (avec Instant Upload) - 3eme exemplaire.
De retour à la maison, pour me rendre compte ce que donne la photo en grand, je télécharge la photo sur mon PC (4eme exemplaire). Je m’aperçois alors qu'il faudrait effectuer quelques petites retouches (contraste par exemple). Je me retrouve donc avec une nouvelle photo - la version modifiée (5eme exemplaire). J'ai gardé l'original, on ne sait jamais, au cas où je voudrais faire marche arrière.
Comme ma cousine aime bien les coquillages, je m'empresse de lui envoyer ma photo par mail. Il y a donc une copie de ma photo stockée dans les messages envoyés de ma messagerie (6eme exemplaire) et ma cousine, sans le savoir en possède maintenant un 7eme exemplaire.
Comme chat échaudé craint l'eau froide, j'ai investi dans un disque partagé et mes fichiers sont automatiquement sauvegardés tous les jours. Le lendemain, je me retrouve donc avec un 8eme et un 9eme exemplaire (l'original et la photo modifiée) copiés sur mon système de sauvegarde.
Entre-temps, ma cousine m'a répondu qu'elle trouvait ce coquillage superbe. De coup, voulant en faire profiter d'autres personnes, je décide de la partager sur Facebook et Google+ (et hop, 2 exemplaires de plus).
Bref, l'histoire pourrait encore durer longtemps. Tout cela pour dire qu'à partir d'une simple photo, et de mécanismes devenus très simples, j'ai généré une bonne dizaine d'exemplaires, et d'une photo de 2 Mo, je me retrouve maintenant avec une dizaine d'exemplaires qui pèsent plus de 20 Mo répartis en plusieurs endroits.
Ce que j'ai fais avec cette photo, je peux le faire avec 10, 100, 1000 photos ou plus encore. Ce que je viens de décrire devient aussi le quotidien de bon nombre de personnes qui veulent à un instant prendre une photo ou une video ou autre...bref des centaines, des milliers de fichiers numériques qui se retrouvent très vite un peu partout et cela sans vraiment y prêter attention.
Ajouté à cela le fait qu'aujourd'hui tout est clair, mais dans 6 mois ou un an, cela sera beaucoup moins évident : ou est passée la photo de mon coquillage, ou est l'original ?
La solution idéale pour éviter cela n'existe pas, peut-être un peu de discipline et de rigueur, mais je ne suis pas persuadé que cela marche à tous les coups. En général, on prévoit de faire du ménage ou du rangement quand on a un peu de temps, et çà, on en a de moins en moins ...
Jorte Calendar sous android, façon agenda papier
Si vous êtes comme moi, un utilisateur des outils google apps et que vous tenez à jour votre agenda grâce à Google Agenda et qu'en plus vous êtes équipé d'un smartphone sous android, vous gardez toujours votre agenda à portée de main.
Mais vous avez peut-être trouvé comme moi que l'application Google Agenda sous android n'est très visuelle.
Sur un smartphone, même équipé d'un écran supérieur à 4 pouces, tout ce qui est affiché à l'écran devient très vite illisible lorsqu'on essaye de retrouver le même visuel que sur un écran d'ordinateur. De ce fait, l'agenda se réduit à un damier avec des cases de toutes les couleurs, semblable à l'agenda qu'on affiche dans un navigateur mais bien souvent inexploitable, même lorsqu'on se limite à l'affichage sur 7 jours.
J'ai trouvé et installé une application gratuite disponible sur google play, qui remplit très bien sa fonction :
Il s'agit d'une application qui peut gérer un ou plusieurs agendas (dont celui de google) mais avec un visuel façon agenda papier :
C'est quand même beaucoup plus lisible. L'application est entièrement paramétrable : taille de la police, couleurs, nombre de jours affichés... Il y a également une gestion de tâches et memos.
Bref, il s'agit d'une application très complète et paramétrable à souhait et qu'il suffit d'essayer pour adopter.
Mais vous avez peut-être trouvé comme moi que l'application Google Agenda sous android n'est très visuelle.
Sur un smartphone, même équipé d'un écran supérieur à 4 pouces, tout ce qui est affiché à l'écran devient très vite illisible lorsqu'on essaye de retrouver le même visuel que sur un écran d'ordinateur. De ce fait, l'agenda se réduit à un damier avec des cases de toutes les couleurs, semblable à l'agenda qu'on affiche dans un navigateur mais bien souvent inexploitable, même lorsqu'on se limite à l'affichage sur 7 jours.
J'ai trouvé et installé une application gratuite disponible sur google play, qui remplit très bien sa fonction :
Il s'agit d'une application qui peut gérer un ou plusieurs agendas (dont celui de google) mais avec un visuel façon agenda papier :
C'est quand même beaucoup plus lisible. L'application est entièrement paramétrable : taille de la police, couleurs, nombre de jours affichés... Il y a également une gestion de tâches et memos.
Bref, il s'agit d'une application très complète et paramétrable à souhait et qu'il suffit d'essayer pour adopter.
La poste : la lettre recommandée électronique
Je ne suis pas un pro-militant du service public mais lorsqu'un service me semble intéressant et qu'il peut nous faire gagner du temps, alors autant en profiter.
C'est le cas de la lettre recommandée électronique proposée par La Poste.
Il n'est plus nécessaire de sortir de chez soi, de trouver un bureau de poste, d'attendre que le bureau ouvre, de la faire la queue au guichet pour pouvoir enfin envoyer un courrier en recommandé.
La poste propose une option entièrement informatisée qui rend ce service.
Il suffit de s'inscrire sur le site, de préparer son courrier au format électronique et de gérer ensuite cette affaire en quelques clics. La poste s'occupe alors de l'impression du courrier, de la mise sous pli et de la distribution du courrier. La lettre électronique possède la même valeur juridique qu'une lettre recommandée classique.
Ce service est bien sûr disponible 7 jours sur 7 et 24 heures sur 24.
Quand c'est bien, il faut le dire !
C'est le cas de la lettre recommandée électronique proposée par La Poste.
Il n'est plus nécessaire de sortir de chez soi, de trouver un bureau de poste, d'attendre que le bureau ouvre, de la faire la queue au guichet pour pouvoir enfin envoyer un courrier en recommandé.
La poste propose une option entièrement informatisée qui rend ce service.
Il suffit de s'inscrire sur le site, de préparer son courrier au format électronique et de gérer ensuite cette affaire en quelques clics. La poste s'occupe alors de l'impression du courrier, de la mise sous pli et de la distribution du courrier. La lettre électronique possède la même valeur juridique qu'une lettre recommandée classique.
Ce service est bien sûr disponible 7 jours sur 7 et 24 heures sur 24.
Quand c'est bien, il faut le dire !
dimanche 24 février 2013
Qwant : acte 2
J'avais eu l'occasion, il y a quelques jours, de parler de Qwant, une alternative potentielle et une initiative française face au moteur de recherche google : Qwant : de la recherche à la decouverte
Et voilà qu'on reparle de Qwant, mais cette fois pour nous dire qu'on nous a trompé sur la marchandise. Qwant ne serait pas véritablement un moteur de recherche mais simplement un "ré-habillage", une remise en forme de résultats obtenus à partir d'autres outils de recherche comme Bing.
Soit, mais il y a quand même lieu à mon avis de souligner cette initiative. Il faut être gonflé aujourd'hui pour se mesurer à google et la concurrence ou tout simplement la possibilité de choisir restent des éléments importants. Google remplit bien sa mission, mais voir ailleurs de temps à autre n'est pas une mauvaise chose en soit.
Et voilà qu'on reparle de Qwant, mais cette fois pour nous dire qu'on nous a trompé sur la marchandise. Qwant ne serait pas véritablement un moteur de recherche mais simplement un "ré-habillage", une remise en forme de résultats obtenus à partir d'autres outils de recherche comme Bing.
Soit, mais il y a quand même lieu à mon avis de souligner cette initiative. Il faut être gonflé aujourd'hui pour se mesurer à google et la concurrence ou tout simplement la possibilité de choisir restent des éléments importants. Google remplit bien sa mission, mais voir ailleurs de temps à autre n'est pas une mauvaise chose en soit.
Windows : virage au bleu
J'ai eu l'occasion de pouvoir suivre les évolutions de windows pratiquement depuis ses débuts.
Si mes souvenirs sont bons, c'est vers le milieu des années 1980 que j'ai commencé à utiliser une interface windows en version 2 puis en version 3. Puis est arrivée la version 95 suivie de la version 98. Après un bref passage par la version millénium, est alors apparue la version Xp, suivie de Vista, puis Seven.
Aujourd'hui, c'est au tour de windows 8, mais on nous annonce déjà l'arrivée de windows blue.
Et oui, cela fait déjà presque 30 ans que l'on assiste régulièrement aux évolutions du paysage microsoft sur nos chers ordinateurs.
Chacune de ces version nous a été livrée avec son lot de nouveautés, et à chaque occasion, cela nous a été présenté comme LA version à adopter.
Mais il y a, à mon sens, un point important à retenir dans cette aventure : durant toutes ces années, la quasi-totalité des ordinateurs vendus aux particuliers ont été livrés avec windows et l'ordinateur et le système étaient quasiment indissociables. De ce fait, nous avions droit à windows ou ..à windows.
Nous avons donc été fortement influencés et habités à ...windows.
C'est un peu dommage, qu'il n'y ai pas vraiment eu de concurrence, pas de possibilité de faire son choix aussi bien concernant le choix du système ni même au niveau de sa version.
C'est d'autant plus dommageable que windows n'est pas, dans ce contexte, une finalité mais simplement une inteface entre la machine et l'utilisateur qui doit permettre l'installation et l'utilisation de logiciels.
Je pense que l'on pourrait encore en discuter pendant un bout de temps, le sujet se prête à la discussion.
Alors que nous apportera windows blue, il faudra attendre cet été pour en savoir plus. Espérons que le "blue" ne sera pas en rapport avec les superbes écrans bleus auxquels microsoft nous avait malheureusement habitué à une certaine époque...
Affaire à suite...
Si mes souvenirs sont bons, c'est vers le milieu des années 1980 que j'ai commencé à utiliser une interface windows en version 2 puis en version 3. Puis est arrivée la version 95 suivie de la version 98. Après un bref passage par la version millénium, est alors apparue la version Xp, suivie de Vista, puis Seven.
Aujourd'hui, c'est au tour de windows 8, mais on nous annonce déjà l'arrivée de windows blue.
Et oui, cela fait déjà presque 30 ans que l'on assiste régulièrement aux évolutions du paysage microsoft sur nos chers ordinateurs.
Chacune de ces version nous a été livrée avec son lot de nouveautés, et à chaque occasion, cela nous a été présenté comme LA version à adopter.
Mais il y a, à mon sens, un point important à retenir dans cette aventure : durant toutes ces années, la quasi-totalité des ordinateurs vendus aux particuliers ont été livrés avec windows et l'ordinateur et le système étaient quasiment indissociables. De ce fait, nous avions droit à windows ou ..à windows.
Nous avons donc été fortement influencés et habités à ...windows.
C'est un peu dommage, qu'il n'y ai pas vraiment eu de concurrence, pas de possibilité de faire son choix aussi bien concernant le choix du système ni même au niveau de sa version.
C'est d'autant plus dommageable que windows n'est pas, dans ce contexte, une finalité mais simplement une inteface entre la machine et l'utilisateur qui doit permettre l'installation et l'utilisation de logiciels.
Je pense que l'on pourrait encore en discuter pendant un bout de temps, le sujet se prête à la discussion.
Alors que nous apportera windows blue, il faudra attendre cet été pour en savoir plus. Espérons que le "blue" ne sera pas en rapport avec les superbes écrans bleus auxquels microsoft nous avait malheureusement habitué à une certaine époque...
Affaire à suite...
mardi 19 février 2013
Les stores : des magasins, des vrais cette fois !
Dans l'actualité ces derniers jours, on apprend que google pourrait ouvrir cette année des magasins, de véritables magasins bien réels et pas virtuels cette fois.
C'est un mouvement qui va l'encontre de l'évolution de l'informatique de ces dernières années, puisque l'idée générale est bien de vouloir tout virtualiser et de permettre à l'informatique d'effectuer sa fonction de superbe aspirateur (L'informatique : un formidable aspirateur).
L'informatique (de manière plus générale la technologie) et le commerce ont toujours eu des rapports particuliers. La technologie fait vendre. Qui n'a pas envie de la dernière technologie sortie, du dernier portable à la mode. Mais la technologie se trouve freinée par la vente. Il faut d'abord écouler les stocks d'un produit avant de sortir la version suivante. Ou alors, il faut absolument sortir une nouvelle version d'un produit de peur de se faire devancer par la concurrence. C'est alors que peut voir sortir des nouveaux modèles de produits qui n'apportent pas grand chose de neuf par rapport à la version précédente...et qui même parfois auraient mérité de rester encore quelques temps en couveuse avant de se retrouver sur le marché à l'état de prématuré.
A titre d'exemple, Microsoft nous livre depuis plus de trente ans des évolutions de son système d'exploitation windows, qui évolue régulièrement à chaque version, sans que cela soit linéaire (la quantité de nouveautés apportée par chaque nouvelle version n'est pas la même). Et tout cela, sans compter le nombre de "services pack", correctifs et rustines en tout genre qu'il faut sans cesse apporter pour pouvoir maintenir le système en vie. Et ce n'est là qu'un exemple parmi tant d'autres...
Bref, une évolution à deux vitesses : celle imposée par le courant commercial et celle de l'évolution de la technologie.
Mais revenons à nos stores. L'informatique cherche à virtualiser de plus en plus de choses. C'est comme cela que nous avons vu apparaître ces dernières années, des "stores", des magasins virtuels qui ont pour objectif de nous vendre des produits tout aussi virtuels. Il s'agit par exemple des "google play","app store", "samsung apps" pour les plus connus. Car le logiciel peut aussi s'assimiler à une entité virtuelle. Un logiciel n'est qu'une suite de 0 et de 1 bien organisés sur un support. La frontière entre le réel et le virtuel est assez difficile à définir dans ce contexte. La seule chose qui n'est pas virtuelle dans cette histoire, c'est l'argent du consommateur...
Google pourrait donc ouvrir cette année de véritables magasins, peut-être donc à l'encontre de l'élan de virtualisation que suit l'informatique depuis ces dernières années, mais ne serait-ce que pour nous rappeler que dernière tout cela, il y a encore des êtres humains, en chair et en os cette fois.
C'est un mouvement qui va l'encontre de l'évolution de l'informatique de ces dernières années, puisque l'idée générale est bien de vouloir tout virtualiser et de permettre à l'informatique d'effectuer sa fonction de superbe aspirateur (L'informatique : un formidable aspirateur).
L'informatique (de manière plus générale la technologie) et le commerce ont toujours eu des rapports particuliers. La technologie fait vendre. Qui n'a pas envie de la dernière technologie sortie, du dernier portable à la mode. Mais la technologie se trouve freinée par la vente. Il faut d'abord écouler les stocks d'un produit avant de sortir la version suivante. Ou alors, il faut absolument sortir une nouvelle version d'un produit de peur de se faire devancer par la concurrence. C'est alors que peut voir sortir des nouveaux modèles de produits qui n'apportent pas grand chose de neuf par rapport à la version précédente...et qui même parfois auraient mérité de rester encore quelques temps en couveuse avant de se retrouver sur le marché à l'état de prématuré.
A titre d'exemple, Microsoft nous livre depuis plus de trente ans des évolutions de son système d'exploitation windows, qui évolue régulièrement à chaque version, sans que cela soit linéaire (la quantité de nouveautés apportée par chaque nouvelle version n'est pas la même). Et tout cela, sans compter le nombre de "services pack", correctifs et rustines en tout genre qu'il faut sans cesse apporter pour pouvoir maintenir le système en vie. Et ce n'est là qu'un exemple parmi tant d'autres...
Bref, une évolution à deux vitesses : celle imposée par le courant commercial et celle de l'évolution de la technologie.
Mais revenons à nos stores. L'informatique cherche à virtualiser de plus en plus de choses. C'est comme cela que nous avons vu apparaître ces dernières années, des "stores", des magasins virtuels qui ont pour objectif de nous vendre des produits tout aussi virtuels. Il s'agit par exemple des "google play","app store", "samsung apps" pour les plus connus. Car le logiciel peut aussi s'assimiler à une entité virtuelle. Un logiciel n'est qu'une suite de 0 et de 1 bien organisés sur un support. La frontière entre le réel et le virtuel est assez difficile à définir dans ce contexte. La seule chose qui n'est pas virtuelle dans cette histoire, c'est l'argent du consommateur...
Google pourrait donc ouvrir cette année de véritables magasins, peut-être donc à l'encontre de l'élan de virtualisation que suit l'informatique depuis ces dernières années, mais ne serait-ce que pour nous rappeler que dernière tout cela, il y a encore des êtres humains, en chair et en os cette fois.
jeudi 14 février 2013
Qwant : de la recherche à la découverte ...
Google apparaît aujourd'hui comme étant LE moteur de recherche.
En effet, que ce soit au niveau de la France ou au niveau mondial, plus de neuf personnes sur dix utilisent le moteur de recherche google pour trouver ce qu'ils recherchent sur internet.
Au fil des ans, google a su s'imposer comme leader dans le domaine grâce à son moteur de recherche, à la fois sobre et d'une redoutable efficacité.
Mais il faut cependant, à mon avis, savoir parfois casser les habitudes et sortir des routes toutes tracées pour pouvoir emprunter d'autres chemins.
Le moteur de recherche est généralement la porte d'entrée sur internet mais il est également l'interface entre l'homme et la machine. Je cherche quelque chose et je demande au moteur de recherche de me le trouver.
Les questions qu'il faut alors se poser : le moteur de recherche a bien compris ma requête ? Il m'a fourni les bons résultats, les résultats les plus pertinents ?
J'avais déjà eu l'occasion d'aborder un peu ce sujet, dans un post précèdent (Mapsaurus : une application interessante) où j'avais évoqué les exemples de Mapsaurus et Kartoo (malheureusement arrêté maintenant) qui avaient le mérite d'aborder les choses différemment.
Dans le même ordre d'idée et puisqu'il faut saluer des initiatives françaises, j'ai découvert un nouveau moteur de recherche intitulé "Qwant", encore en version beta mais qui mérite le détour.
Qwant aborde les choses différemment, avec en premier lieu une interface différente et en plus, la particularité d'effectuer ses recherches au sein même des réseaux sociaux, qui prennent une place de plus en plus importante dans le paysage internet. Les résultats des recherches sont regroupés suivant 4 grandes thématiques : le live, les médias, les réseaux sociaux et le shopping.
Comme le précise le directeur du projet Qwant, en l’avançant comme argument , Qwant constitue plus qu'un moteur de recherche, c'est un moteur de découvertes.
Alors faut-il adopter Qwant ? Peux-t-on se passer de google ?
L'avenir nous le dira.
En tout cas, il faut tester Qwant, ne serais-ce que pour la curiosité : Qwant
En effet, que ce soit au niveau de la France ou au niveau mondial, plus de neuf personnes sur dix utilisent le moteur de recherche google pour trouver ce qu'ils recherchent sur internet.
Au fil des ans, google a su s'imposer comme leader dans le domaine grâce à son moteur de recherche, à la fois sobre et d'une redoutable efficacité.
Mais il faut cependant, à mon avis, savoir parfois casser les habitudes et sortir des routes toutes tracées pour pouvoir emprunter d'autres chemins.
Le moteur de recherche est généralement la porte d'entrée sur internet mais il est également l'interface entre l'homme et la machine. Je cherche quelque chose et je demande au moteur de recherche de me le trouver.
Les questions qu'il faut alors se poser : le moteur de recherche a bien compris ma requête ? Il m'a fourni les bons résultats, les résultats les plus pertinents ?
J'avais déjà eu l'occasion d'aborder un peu ce sujet, dans un post précèdent (Mapsaurus : une application interessante) où j'avais évoqué les exemples de Mapsaurus et Kartoo (malheureusement arrêté maintenant) qui avaient le mérite d'aborder les choses différemment.
Dans le même ordre d'idée et puisqu'il faut saluer des initiatives françaises, j'ai découvert un nouveau moteur de recherche intitulé "Qwant", encore en version beta mais qui mérite le détour.
Qwant aborde les choses différemment, avec en premier lieu une interface différente et en plus, la particularité d'effectuer ses recherches au sein même des réseaux sociaux, qui prennent une place de plus en plus importante dans le paysage internet. Les résultats des recherches sont regroupés suivant 4 grandes thématiques : le live, les médias, les réseaux sociaux et le shopping.
Comme le précise le directeur du projet Qwant, en l’avançant comme argument , Qwant constitue plus qu'un moteur de recherche, c'est un moteur de découvertes.
Alors faut-il adopter Qwant ? Peux-t-on se passer de google ?
L'avenir nous le dira.
mardi 12 février 2013
Dans le famille google, je demande Google Analytics
Google analytics est un outil proposé par google qui permet d'effectuer une analyse d'audience d'un site web. Il est alors possible d'obtenir un ensemble de données, d'indicateurs concernant la fréquentation d'un site web.
De ce fait, comme je suis curieux de nature - comme beaucoup d'informaticiens d'ailleurs, j'utilise cet outil pour obtenir une analyse d'audience de mon blog "Mon informatique au quotidien" et collecter ainsi une foule d'indicateurs qui peuvent être plus ou moins intéressants suivant ce que l'on recherche.
Il ne faut pas avoir peur alors de se trouver immédiatement submergé de données en tout genre.
L'idée étant, après avoir fait le tri, de tirer un certain nombre de conclusions, qui permettent de rectifier le tir en améliorant son site et donc logiquement son audience. Je n'en suis pas à ce stade, et mon idée n'est pas de faire du chiffre à tout prix. Mon blog n'ayant aussi que trois mois d'existence, il est encore un peu tôt pour tirer de réelles conclusions.
Voici donc quelques informations qui ont retenu mon attention :
- des statistiques en temps réel, qui donnent le nombre de personnes actuellement sur le site, la ou les pages actives, leur localisation géographique.
- le nombre de visites par heure, jour, semaine ou mois, les pages visitées, la durée moyenne de chaque visite, le pourcentage de visites uniques et celui de ceux qui reviennent, le taux de rebond (pourcentage d'internautes ayant visité une page puis qui ont quitté ensuite le site).
- l'origine de l'accès au site (Recherche, site réfèrent ou accès direct) et les mots-clés recherchés.
- Le navigateur, le système d'exploitation, ordinateur ou mobile, la résolution écran
- La langue, la ville et le pays du visiteur.
- La couleur des chaussettes de l'internaute (non, çà c'est pour rire)
Bon, je pense que je vais arrêter là, la liste des indicateurs et attendre un peu avant de me lancer dans une analyse de tout cela.
A noter qu'il existe une version sous android, moins fournie mais qui fonctionne très bien.
De ce fait, comme je suis curieux de nature - comme beaucoup d'informaticiens d'ailleurs, j'utilise cet outil pour obtenir une analyse d'audience de mon blog "Mon informatique au quotidien" et collecter ainsi une foule d'indicateurs qui peuvent être plus ou moins intéressants suivant ce que l'on recherche.
Il ne faut pas avoir peur alors de se trouver immédiatement submergé de données en tout genre.
L'idée étant, après avoir fait le tri, de tirer un certain nombre de conclusions, qui permettent de rectifier le tir en améliorant son site et donc logiquement son audience. Je n'en suis pas à ce stade, et mon idée n'est pas de faire du chiffre à tout prix. Mon blog n'ayant aussi que trois mois d'existence, il est encore un peu tôt pour tirer de réelles conclusions.
Voici donc quelques informations qui ont retenu mon attention :
- des statistiques en temps réel, qui donnent le nombre de personnes actuellement sur le site, la ou les pages actives, leur localisation géographique.
- le nombre de visites par heure, jour, semaine ou mois, les pages visitées, la durée moyenne de chaque visite, le pourcentage de visites uniques et celui de ceux qui reviennent, le taux de rebond (pourcentage d'internautes ayant visité une page puis qui ont quitté ensuite le site).
- l'origine de l'accès au site (Recherche, site réfèrent ou accès direct) et les mots-clés recherchés.
- Le navigateur, le système d'exploitation, ordinateur ou mobile, la résolution écran
- La langue, la ville et le pays du visiteur.
- La couleur des chaussettes de l'internaute (non, çà c'est pour rire)
Bon, je pense que je vais arrêter là, la liste des indicateurs et attendre un peu avant de me lancer dans une analyse de tout cela.
A noter qu'il existe une version sous android, moins fournie mais qui fonctionne très bien.
lundi 11 février 2013
Le web : les chiffres de la démesure
Juste histoire de se donner le vertige.
Il me vient souvent à l'esprit cette réflexion concernant les sommets que peuvent attendre certains chiffres lorsqu'on parle d'internet ou de l'informatique en général.
J'avais déjà eu l'occasion d'aborder ce sujet en évoquant le projet Numelyo (Numelyo, un projet pharaonique) : la bibliothèque de Lyon en partenariat avec Google et les quelques 450 000 ouvrages concernés par la numérisation.
Mais cette fois, c'est en lisant un article qui évoquait le nombre de photos qui avaient été prises lors du mariage du Prince Albert de Monaco en juin 2011. Je ne suis pas spécialement adepte des mariages princiers mais j'ai simplement retenu de cet évènement qu'on estimait à environ 370 millions le nombre de photographies qui avaient faites pour couvrir l'évènement. Et c'est précisément ce chiffre qui a retenu mon attention. 370 millions (c'est six fois la population de la France), et ce chiffre ne se rapporte qu'à un seul évènement, certes de portée mondiale, au regard de la médiatisation de la principauté de Monaco.
Je pense que la quasi-totalité de ces photos sont numériques et que, de ce fait, du jour au lendemain, les ordinateurs, les serveurs, le web, les clés usb, les cartes micro-sd et autres supports se sont vus recevoir ces clichés.
Et il ne s'agit là que d'un exemple isolé. Chaque évènement aujourd'hui est immédiatement accompagné de son lot de clichés numériques qui viennent nourrir toutes sortes de supports informatiques, qu'il s'agisse d'un évènement sportif, d'un fait d'actualité, d'une sortie entre amis ou plus simplement du gâteau d'anniversaire de la cousine ou des vêtements à vendre sur le bon coin ....
Tout cela a été rendu possible grâce à l'informatique et au passage au numérique. On assiste à une augmentation constante du nombre de clichés qui immortalisent un évènement ou un instant quel qu'il soit pour garder et partager des moments passés.
Bien malin celui qui pourra nous dire combien compte-on aujourd'hui de photos numériques stockées sur le web !
samedi 9 février 2013
La recherche d'images sur google évolue
Google vient d'annoncer une évolution de son outil de recherche d'images.
La recherche d'images permet maintenant de visualiser directement les images dans la liste de résultats sous la forme d'une fenêtre de prévisualisation :
Il n'est plus nécessaire d'afficher une image dans un nouvel écran, tout se passe sur la même page. Une amélioration sympathique qui donne une autre dimension à la recherche d'images.
La recherche d'images permet maintenant de visualiser directement les images dans la liste de résultats sous la forme d'une fenêtre de prévisualisation :
Il n'est plus nécessaire d'afficher une image dans un nouvel écran, tout se passe sur la même page. Une amélioration sympathique qui donne une autre dimension à la recherche d'images.
vendredi 8 février 2013
Les outils en ligne
L'évolution des technologies, la généralisation d'internet, la mode du cloud font que l'on voit se développer de plus en plus d'outils en ligne.
Mais qu'est ce qu'un outil en ligne ?
Sans rentrer dans les détails ni faire un copier-coller d'une définition en provenance de wikipédia ou autre, on peut dire qu'il s'agit de disposer d'un outil (ou logiciel) non pas installé sur une machine mais directement accessible et utilisable sur internet. Voilà pour la définition que j'en ferai.
Encore un coup de l'aspirateur (L'informatique, un formidable aspirateur !!!).
Deux exemples pour illustrer mes propos :
- gmail pour remplacer un client de messagerie.
- google document pour remplacer word ou writer
...mais il commence à y en avoir de plus en plus.
Les logiciels se trouvent directement intégrés au web.
Il n'y a plus rien à installer sur l'ordinateur, pas de mise à jour à faire ni de correctifs à passer.
De même, en cas de changement d'ordinateur, pas de logiciel à ré-installer. Tout cela devient transparent pour l'utilisateur. L’ordinateur, la tablette ou le smartphones se trouvent alors réduits au simple titre de terminal. Le chromebook constitue un cas tout à fait intéressant : tout se passe dans le navigateur, aucun logiciel à installer.
Les outils en lignent se multiplient et s'enrichissement progressivement.
Seul point délicat, il faut être connecté à internet, quoique certains outils commencent à travailler en mode déconnecté.
Les outils en ligne ne remplacement pas encore complètement les logiciels mais cela arrive doucement. Pour des travaux lourds et poussés en bureautique par exemple, les logiciels installés restent les plus adaptés.
Mais je pense que progressivement la donne risque de changer. C'est un peu aussi la disparition des distributeurs de logiciels. Là encore l'aspirateur informatique remplit sa mission. Un pas supplémentaire vers la dématérialisation.
Pour l'utilisateur final, celui qui ni connait rien en informatique ou qui ne veut pas s'embêter, les outils sont alors la solution adéquate.
Mais qu'est ce qu'un outil en ligne ?
Sans rentrer dans les détails ni faire un copier-coller d'une définition en provenance de wikipédia ou autre, on peut dire qu'il s'agit de disposer d'un outil (ou logiciel) non pas installé sur une machine mais directement accessible et utilisable sur internet. Voilà pour la définition que j'en ferai.
Encore un coup de l'aspirateur (L'informatique, un formidable aspirateur !!!).
Deux exemples pour illustrer mes propos :
- gmail pour remplacer un client de messagerie.
- google document pour remplacer word ou writer
...mais il commence à y en avoir de plus en plus.
Les logiciels se trouvent directement intégrés au web.
Il n'y a plus rien à installer sur l'ordinateur, pas de mise à jour à faire ni de correctifs à passer.
De même, en cas de changement d'ordinateur, pas de logiciel à ré-installer. Tout cela devient transparent pour l'utilisateur. L’ordinateur, la tablette ou le smartphones se trouvent alors réduits au simple titre de terminal. Le chromebook constitue un cas tout à fait intéressant : tout se passe dans le navigateur, aucun logiciel à installer.
Les outils en lignent se multiplient et s'enrichissement progressivement.
Seul point délicat, il faut être connecté à internet, quoique certains outils commencent à travailler en mode déconnecté.
Les outils en ligne ne remplacement pas encore complètement les logiciels mais cela arrive doucement. Pour des travaux lourds et poussés en bureautique par exemple, les logiciels installés restent les plus adaptés.
Mais je pense que progressivement la donne risque de changer. C'est un peu aussi la disparition des distributeurs de logiciels. Là encore l'aspirateur informatique remplit sa mission. Un pas supplémentaire vers la dématérialisation.
Pour l'utilisateur final, celui qui ni connait rien en informatique ou qui ne veut pas s'embêter, les outils sont alors la solution adéquate.
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