4G : la guerre n'est pas finie !

Bouygues Telecom et SFR annoncent aujourd'hui la signature d'un accord leur permettant de mutualiser une partie de leur réseau.

Bouygues Telecom et SFR unissent leurs forces dans le mobile

Et c'est tout bénéfice :

- des coûts moindres pour la mise en place de leurs infra-structures.

- un réseau plus dense, permettant de mieux répondre en terme de couverture et de débits.

- une petite opération pour relancer la concurrence. Cette fois l'argument n'est pas une baisse des tarifs mais une meilleure couverture.

Une mesure qui va dans le bon sens et qui permettra d'éviter l'installation d'antennes redondantes.

Smartphones en 2013 : le milliard !!!

Et oui, en 2013 il s'est vendu un milliard de smartphones sur la planète !!!

Le chiffre paraît presque impressionnant au regard des 7 milliards d'habitants de notre planète.

En sachant que tous les possesseurs de smartphones n'ont pas acheté un nouveau modèle en 2013, cela semble l'objet que tout le monde veut avoir. Je n'ai pas de chiffres concernant d'autres biens de consommation, mais je pense qu'il doit être loin devant tous les autres ...

Alors oui, le smartphone devient l'objet à devoir posséder absolument. A noter également une hausse de plus de 38 % par rapport à l'année 2012. Quel autre objet pourrait se vanter d'une telle progression ?

Cela explique du même coup les affrontements entre les uns et les autres pour vouloir s'imposer sur ce marché. On comprend mieux aussi l'arrivée d'une quantité de nouveaux constructeurs qui veulent avoir aussi leur part du gâteau.

En parlant de gâteau, les parts ne sont pas égales :

- Samsung détient la plus grosse part avec presque un tiers du gâteau.

- Cinq constructeurs détiennent les deux tiers du marché.

- 80 % des smartphones sortent sous Android.

Il faut également se rendre à l'évidence : posséder un smartphone n'est pas une finalité. Pour bon nombre d'acteurs commerciaux, cela constitue également un important accessoire commercial. Il faut d'abord avoir accès aux réseaux et donc payer un abonnement. Le smartphone devient aussi un outil permettant de réaliser des achats en toute simplicité. Et il y a également les "stores" pour acheter de la musique, des logiciels, des livres ...

Tout cela constitue donc une énorme machine de consommation et ce n'est pas le milliard d'appareils vendus l'année dernière qui risque d'inverser la tendance.

Synology libère la version beta du DSM 5.0

Synology, spécialiste des solutions de stockage pour particuliers et petites entreprises, vient de mettre à disposition la version beta 5.0 de son système d'exploitation pour ses serveurs.

NAS Synology : le DSM 5.0 bêta est disponible au téléchargement

Cette entreprise réputée pour la fiabilité de ses solutions qui présentent deux atouts majeurs :

- des matériels de qualité

- mais aussi et surtout un système d'exploitation qui ne cesse d'évoluer, tout en restant accessible aux machines plus anciennes.

Cette nouvelle version sera donc disponible pour les machines à partir de la génération x10 (et donc x11, x12, x13 et x14).

Cette société ne se contente donc pas de mettre des solutions matérielles et logicielles au point, sans les faire évoluer, bien au contraire.

Cette nouvelle version du DSM apporte son lot de nouveautés : accès universel aux données avec QuickConnect, nouvelle interface graphique, refonte des applications, interface avec Dropbox et Google Drive, ....

DSM 5.0 Beta

Smartphones : tendances 2014 ?

Le monde merveilleux des smartphones est un univers en pleine évolution. Cela fait maintenant quelques années que cela dure. Apple le premier a ouvert le bal en mettant au point l'Iphone il y a maintenant bien 7 ou 8 ans et depuis bon nombre de constructeurs sont venus s'implanter sur ce marché.

L'année 2013 aura surtout été marquée par le marché de plus en plus dominé par Android, alors qu'on pouvait s'attendre à quelques initiatives qui viendraient s'imposer mais qui restent encore pour l'instant dans les cartons ou au stade embryonnaire : le portage d'Ubuntu sur les machines mobiles, les smartphones équipés de Firefox Os, le projet Tizen porté par Samsung. Mais pour l'instant, il n'y a pas de grands mouvements de ce côté.

Alors quelle pourrait être la tendance pour cette nouvelle année ?

Et bien, il fort possible qu'elle ne se joue pas au niveau des systèmes d'exploitation à proprement parler mais plutôt au niveau des constructeurs, et plus particulièrement au niveau des produits ""Low-cost".

Effectivement au niveau des constructeurs, il y a les ténors du marché : Apple, Samsung, LG, HTC, Acer, ...et puis il y en a d'autres qui pourraient créer la surprise cette année. Les grands constructeurs nous proposent des belles machines truffées d’innovations et de technologies dernier cri mais pour des budgets qui oscillent entre 500 et 900 euros.

Hors, nous sommes en période de crise et ces achats représentent des investissements plus que conséquents pour les consommateurs. De plus, même pour les appareils haut de gamme, la durée de vie reste très limitée. Actuellement, une durée d'utilisation d'un smartphone ne dépasse pratiquement jamais deux ans. Cela veut donc dire une grosse dépense tous les deux ans pour pouvoir profiter pleinement de ces machines.

C'est pourquoi, bon nombre d'initiatives viennent essayer de s'imposer sur ce marché tenu encore aujourd'hui  par les ténors, soit en proposant des machines moins "dernier cri", moins bien équipées ou dont le système n’évoluera pas mais qu'importe puisqu'il devient maintenant courant de changer de machine régulièrement.

Voici donc une liste de tendances qui pourraient venir changer la donne cette année :

Wiko : une marque qui commence à faire son chemin en proposant des machines deux fois moins chères que les ténors.

Archos revient également sur le devant de la scène en proposant des machines sous son nom ou également sous la marque Qlive destinés à la grande distribution.

Dernièrement, est également arrivé Kazam avec toute une gamme de machines.

La société Jolla, constituée d'anciens employés de Nokia, tente également l'aventure.

Les marques Meizu, Vivo et Oppo vont également s'inviter dans la partie.

Enfin, OnePlus pourrait aussi faire parler de lui en proposant des smartphones basés sur Cyanogenmod.

La liste n'est pas exhaustive mais voilà cependant de nouveaux constructeurs qui tenterons de s'imposer sur ce marché cette année. 

L'idée sera, pour pouvoir s'imposer sur ce marché, de proposer des machines avec un bon rapport qualité-prix.

A suivre donc.

Google Play, c'est bien !

La critique est facile. Mais quand c'est bien, il faut également penser à le dire. L'avis des utilisateurs est important.

Android est un système d'exploitation qui équipe bon nombre de smartphones et tablettes. Un des rôles du système d'exploitation est de proposer une interface graphique et donc un intermédiaire entre un matériel (appareil physique) et un utilisateur. Le système d'exploitation doit également pouvoir accueillir des applications et s'assurer que l'ensemble fonctionne correctement.

Ce n'est pas la définition exacte d'un système d'exploitation, mais c'est tout au moins l'idée qu'on peut s'en faire ici de manière schématique.

Si l'on se place sous angle purement utilisateur, un peu monsieur tout le monde, on peut dire qu'Android remplit pleinement sa fonction et c'est donc très bien. Je ne parlerai pas ici de "root" ou d'apk à télécharger manuellement mais simplement de la manière classique de si prendre pour la plupart des utilisateurs.

Le Google Play constitue le magasin d'applications qu'il suffit d'arpenter pour faire son choix. Les applications disponibles, gratuites ou payantes, peuvent ensuite être installées sur un smartphone par exemple. Et dans ce processus, c'est Android qui contrôle la manœuvre. Une application disponible dans le Google Play a été validée et peux donc être installée. Il est également vérifié que l'application désirée est compatible avec le terminal. De même, la mise à jour de l'application peut être automatisée et entièrement gérée par le système.

Le Play est également enrichi d'un système de notation et d'avis utilisateurs qui peuvent parfois guider dans le choix d'une application.

Petite cerise sur le gâteau, il est également possible de consulter le Google Play directement dans un navigateur, en étant connecté avec le même identifiant Google que celui du terminal sur lequel on veut installer une application et on peut effectuer alors les installations à distance.

Dans la plupart des cas cela fonctionne très bien, l'utilisateur est entièrement guidé et donc, pour toutes ces raisons, je pense cette manière de procéder assure au système un certain succès.

Alors c'est sûr, c'est Google qui contrôle tout, mais au moins l'utilisateur est assisté.

Prenons maintenant un autre système d'exploitation grand public, Windows par exemple. Et essayons de comparer avec la mécanique Android :

- Il n'y a pas vraiment de "Play", Microsoft ne contrôle pas et ne référence pas les applications censées tourner sous son système, même si dans sa dernière version, il propose un "store", ce n'est pas un passage obligatoire.

- Lors de l'installation d'une application, aucun contrôle n'est effectué pour savoir si l'application est compatible avec la version du système (sauf si le logiciel lui-même le prévoit).

- Aucun mécanisme n'est prévu par Windows pour savoir si une application installée peut-être mise à jour, s'il y a une version plus récente ou corrigée (heureusement certains logiciels assurent cette fonction).

Sans rentrer dans les détails, il est clair que pour Windows, ce qui vient d'être cité est de la responsabilité et du domaine de compétence de l’utilisateur. Est-ce vraiment de la compétence de monsieur tout le monde, pas si sûr !!!

Je pense donc qu'à ce niveau Android est beaucoup plus abouti que Windows. Espérons que Microsoft puisse trouver l'inspiration. Car c'est avant tout l'avis de l'utilisateur qui est important, je le répète mais il faut bien comprendre cela.

Petit bémol cependant concernant Android, lorsqu'une application est désinstallée, l'information n'est pas automatiquement remontée au niveau du compte Google et de même, une fois une application mise à jour, il n'est plus possible de faire marche arrière. Mais tout n'est pas être parfait, cela reste des points mineurs, qui n'empêchent pas le succès du système.

Il serait intéressant que Microsoft adopte les mêmes principes que ceux qui fonctionnent avec Android pour garder la côte auprès des utilisateurs.

  

Windows 7, le retour !!!

Microsoft a décidément du mal à vendre son système à tuiles, Windows 8.

D'autant plus qu'un constructeur, et pas n'importe lequel, HP (le numéro 2 mondial) a décidé de lancer une nouvelle gamme de machines sous Windows 7, en proposant en plus de payer moins cher qu'avec Windows 8 (une centaine de dollars). Pour rappel, Windows 8 est commercialisé depuis octobre 2012.

L'argument de HP serait de dire, qu'il propose ces machines pour répondre à la demande des clients et pour combler les insatisfaits de Windows 8.

Quand on y regarde d'un peu plus prêt, c'est tout de même une grande première, voire une révolution : le constructeur mondial n°2 des machines de bureau qui incite et encourage les clients à ne pas choisir la dernière version de Windows mais plutôt la précédente. Je pense que cela ne s'est jamais vu auparavant.

D'habitude, c'est plutôt l'inverse qui se produit : lorsqu'une nouvelle version de windows arrive sur le marché, les constructeurs s'empressent de la mettre à disposition ou de proposer une mise à jour ultérieure.

Il est sûr que cette initiative ne va pas plaire à Microsoft, mais j'espère que cette fois-ci il aura compris ...on ne peut pas être plus clair...

Références aux articles :

HP RELANCE DES PC WINDOWS 7 POUR LES INSATISFAITS DE WINDOWS 8 
HP : Achetez un PC sous Windows 7 pour économiser
HP relance la distribution de PC sous Windows 7

DAB : 95 % sous Windows Xp

Après 12 ans de bons et loyaux services, la version Xp de Windows, sortie en 2001 devrait prochainement tirer sa révérence puisque Microsoft a annoncé depuis quelques temps maintenant qu'il arrêterait les mises à jour de sécurité concernant cet OS dès le 08 avril 2014.

Hors, de nombreuses machines tournent encore sous Windows Xp. Ces machines ne s'arrêterons pas de tourner à cette date mais le système ne sera plus maintenu par Microsoft. De ce fait, il n'y aura plus d'évolutions ni de corrections. Ces machines deviendrons alors très vite vulnérables face à de nouveaux procédés d'attaques informatiques.

Il faut dire aussi qu'une douzaine d'années pour un système informatique est un bel age pour prendre sa retraite. Et depuis la sortie d'Xp, de nouvelles versions sont apparues (Vista, Seven, Windows 8, ...).

Sauf que pour certaines machines, il n'y a pas eu d'évolution.

C'est l'exemple des DAB (Distributeurs Automatiques de Billets) qui a fait parler d'eux dans l'actualité, en précisant que 95 % de ces machines tournent encore sous Xp :

95 % des distributeurs de billets sont encore sous Windows XP

Les distributeurs de billets sous XP particulièrement vulnérables

Et là, çà commence à devenir inquiétant, car au niveau mondial, cela représente plusieurs millions d'appareils installés un peu partout et qui vont devenir pratiquement du jour au lendemain des cibles potentielles pour des attaques informatiques.

Même si la solution envisagée est un passage sous Windows Seven, ce ne sera certainement pas aussi simple que çà et ce à plusieurs niveaux :

- le passage à Windows Seven aura une incidence financière, et l'on se demande bien qui va l'assumer.

- un certain nombre de machines ne sont pas prévues pour effectuer ce passage, il faudra donc également prévoir un remplacement matériel.

- si au jour d'aujourd'hui, 95 % des DAB sont encore sous Windows Xp, il est peu probable que tout le parc sera à jour pour le 08 avril...il aurait peut-être fallu y penser un peu plus tôt.

Il aurait peut-être été également opportun de se demander si un Windows dans un distributeur de billets était une solution appropriée plus qu'une solution de facilité.

En tout cas, il va falloir faire vite et cela risque de chauffer du côté des systèmes informatiques bancaires dans les semaines qui viennent.

Google alertes évolue

J'ai déjà eu l'occasion de parler de cette fonction très intéressante qu'est Google Alertes et qui permet de recevoir au quotidien par mail une liste de liens sur un sujet précis

Google Alertes, c'est bien

Depuis hier, les alertes Google ont évolué : Le mail qui est envoyé a été enrichi de la manière suivante : 

La présentation a donc évolué. Dans certains cas, il y a une image en miniature. Des icônes permettent d'effectuer un partage directement sous Google+, Facebook ou Twitter. Il est également possible de modifier l'alerte en passant par "Préciser l'alerte".

Une bonne évolution, qui laisse donc penser que le service ne sera pas abandonné, comme il avait été évoqué à une certaine époque.

Android 4.3 enfin sur le Samsung Galaxy S3

La mise à jour officielle du Samsung Galaxy S3 vers Android 4.3 a enfin été libérée cette semaine par Samsung.

Et le moins qu'on puisse dire, c'est que ce n'est pas trop tôt !!!

Petit retour en arrière : 

Le Samsung Galaxy S3 sort au mois de mai de l'année 2012. Il tourne alors sous ICS (Ice Scream sandwich), la version 4 du système Android.

En fin d'année 2012, passage en 4.1 sous Jelly bean. Suivent alors quelques évolutions mineures : 4.1.1 puis 4.1.2 puis plus rien.

Entre-temps, Android continue à avancer : un version 4.2, puis une 4.3 et finalement la sortie de la verison Kitkat 4.4 vers la fin novembre, début décembre 2013.

Il se murmure alors que le Samsung Galaxy S3 en version 4.1.2 pourrait sauter la version 4.2 pour passer directement en 4.3, çà c'est une bonne nouvelle.

Sauf que lorsque celle-ci commence à être diffusée, début décembre 2013, la mise à jour est vite stoppée car la version diffusée pose énormément de problèmes, bugs en tout genre.

Et donc après un petit retour en couveuse, la version officielle d'Android 4.3 pour le Samsung Galaxy S3 est finalement livrée cette semaine, sans bug cette fois.

Après trois plantages pendant l'installation via Kies (le logiciel Samsung pour la mise à jour des terminaux) à partir d'un PC, j'ai enfin pu profiter de la mise à jour.

Comme la machine n'avait pas été mise à jour depuis un an que l'on venait de sauter la version 4.2, je me suis dis que cela allait faire une grande différence, après mise à jour et que j'allais pouvoir découvrir une quantité de nouveautés.

Et bien NON, je résumerai plutôt la situation en disant que l'éléphant vient d'accoucher d'une souris.

Pour ceux que sont intéressés, voici le changelog exact.

Pour ma part, je résumerai ainsi, après quelques jours d'utilisation : 

Il y a un peu de changements esthétiques, quelques modifications dans les paramètres, au niveau de l'autonomie et de la vélocité de l'appareil, rien de changé.

SI, un truc très important, le Samsung Galaxy S3 est maintenant compatible avec la Galaxy Gear, et çà je suis certain que tout le monde l'attendait.

FreeMobile : 2 ans et 7,5 millions d'abonnés

Deux ans déjà que Free Mobile est sur les rails.

Et beaucoup de choses se sont passées durant ces deux ans :

- Il y  a tout d'abord 7,5 millions de clients qui sont passés chez Free Mobile. Je ne sais pas s'il y a beaucoup d'opérateurs qui peuvent avancer de tels chiffres ou une telle progression.

- Les tarifs ont également beaucoup changé chez tous les opérateurs, durant ces deux dernières années. Pour une même prestation, certains tarifs ont été divisés par deux voire par trois. Et aucun opérateur n'a disparu, preuve qu'il y a de la place pour tout le monde et qu'en matière de tarification, il y a de la marge.

- Le sms n'est pratiquement plus facturé, c'est maintenant le "cadeau" des opérateurs.

- Les modes de consommation ont également évolué : le "sans engagement" s'est bien développé : face à l'évolution rapide du marché et des offres, les clients ne souhaitent plus s'engager trop longtemps voire plus du tout. Les engagements sur 24 mois ne devraient d'ailleurs plus être autorisés.

- L'apparition du forfait à 2 € : Free Mobile a également permis le développement des tous petits forfaits. Cela montre avant tout que la "voix" ne coûte plus vraiment cher et n'est plus vraiment au centre des débats.

- Le développement des opérateurs "low-cost" qui sont également apparus et se sont développés pour contrer "l'effet Free". Je n'aime pas vraiment ce terme "low-cost", il me paraît inapproprié. D'ailleurs, était-il vraiment nécessaire de créer ces nouvelles entités ? Pourquoi ne pas adopter directement les tarifs et les formules directement chez les opérateurs initiaux ... peut-être pour compliquer un peu plus les choses.

- Le lancement de nouveaux modes de consommation, en permettant par exemple la location de smartphones, on aime ou on n'aime pas, mais maintenant c'est possible.

- La séparation du prix du mobile et de l'abonnement : même si cela n'est pas encore parfaitement respecté, les opérateurs ont maintenant tendance à adopter cette démarche.

- L'agitation autour du lancement de la 4G. Alors çà, je le gardais pour la fin, car ce n'est pas une mince affaire. La mise à disposition de la 4G a fait beaucoup parlé d'elle. Alors que la 3G n'est pas encore complètement en place et que les débits offerts en 3G sont loin d'être corrects, les opérateurs ont voulu lancer, avec fanfare et trompettes, la mise en oeuvre de la 4G. Cette opportunité de pouvoir remplir les caisses, comme cela a été murmuré à demi-mots, a vite été stoppée par l'annonce de Free voulant l'ajouter sans surcoût. Sans vouloir aborder les débats sur les pourcentages de couverture, les débits, les antennes et tout ce qui peut porter à discussion, il faut être clair sur ce qui préoccupe avant tout le consommateur. La véritable attente du consommateur est d'avoir un débit correct et ce, quelque soit l'endroit ou il se trouve et peu importe qu'on soit en 3G ou 4G. Il faut être clair, personne n'attends la 4G en tant que telle. Si en utilisant un appareil en 3G, on avait des débits entre 10 à 20 Mo (débits théoriques corrects pour de la 3G), personne n'aurait besoin de plus. Comme l'envisage Free, la 4G aujourd'hui doit être prise comme un bonus.

La liste de ces évolutions n'est certainement pas complète, mais une chose est sure, l'arrivée de Free en tant qu'opérateur mobile aura profondément bouleversé l'écosystème de la mobilité. Et pour reprendre un slogan à la mode :

"Et c'est pas fini !"

Alors bien sûr, tout n'est pas rose, Free Mobile souffre encore de défauts de jeune, la mise en oeuvre de son infrastructure étant certainement son plus gros souci actuel. Mais cela ne durera pas. Et au niveau des défauts ou de dysfonctionnements, je ne pense pas qu'il y ai un opérateur qui n'en présente pas.

Alors, pour l'instant, laissons à chacun le temps de finaliser ses infra-structures. 

On a parlé domotique au CES2014

Au CES de Las Vegas, après les tablettes et les smartphones, on parle aussi d'objets connectés, telle est la tendance du moment.

Tout doit être connecté, dans l'évolution logique de l'informatique : les montres, les lunettes, les bracelets, tout y passe, que ce soit en bluetooth, en wifi, tout doit pouvoir être piloté par l'informatique.

On arrive alors tout droit dans le domaine de la domotique, là où un ensemble d'objets du quotidien ou fonctions deviennent alors automatisés et pilotables à distance.

Deux constructeurs ont abordé ce domaine au CES, Archos avec ses objets connectés 

CES 2014 : QUAND ARCHOS SE LANCE DANS LA DOMOTIQUE

et Samsung avec le Samsung Smart Home

CES 2014 : SAMSUNG SE LANCE DANS LA DOMOTIQUE

Dans le domaine de la domotique, les réalisations et initiatives ne manquent pas ces dernières années. Mais il n'y a pas encore de grandes tendances ni de solutions qui tendent à s'imposer. L'heure est encore à la prospective et aux initiatives à l'essai.

Pourtant, il s'agit bien d'un domaine dans lequel il y a encore matière à creuser.

Ce qui m’interpelle depuis quelques temps et qui m'étonne encore, c'est qu'il n'y ai pas un fournisseur de Box qui se soit lancé. La plupart des foyers sont maintenant équipés d'une Box, qui propose dans la plupart des cas une connexion Wifi et qui donc peut servir de base pour une solution domotique. En ayant fait rentrer ces boîtes dans nos demeures, un certain nombre de fonctions et services est déjà assuré par ces machines : téléphonie, télévision, internet, multimédia, ... alors pourquoi un peu de domotique. Je pense que ce n'est qu'une question de temps, mais à mon avis c'est déjà très sérieusement à l'étude.

MAJ : Google a certainement dû m'entendre puisqu'il vient d'annoncer le rachat de la société NEST, société spécialisée dans les thermostats intelligents et détecteurs de fumée Google rachète Nest pour 3,2mds de dollars

Le sujet est d'actualité !!!

Le cloud est passé sur France2

Hier soir, l'émission "Envoyé Spécial" a consacré un reportage au Cloud, le "nuage" pour utiliser un terme plus français.

L'idée était donc de présenter et d'expliquer ce qu'est le Cloud. Il a donc été montré ce qui se cache dernière cette notion consistant à mettre sur internet de plus en plus en choses de manière à les rendre disponibles tout le temps, de n'importe où et parfois par n'importe qui.

Le reportage consistait à expliquer les mécanismes, la manière dont tout cela fonctionne, mais également d'exposer quels pouvaient être les dangers présentés par le Cloud.

Car effectivement, mettre des choses dans le Cloud, c'est également s'exposer à un certain nombre de risques contrairement à ce qu'on pourrait en attendre à savoir une sorte de coffre-fort.

Le Cloud n'a pas que des avantages et présente même un certain nombre de dangers : vol de données voire vol d'identité. Car les voleurs ou personnes mal intentionnées qui agissent dans ce domaine ne défoncent pas les portes à coup de pied de biche.

L’intérêt du reportage consistait  à dire que dans certaines conditions, mettre des données dans le cloud, c'était un peu comme si l'on mettait tout cela sur la place publique. Le simple fait de perdre son smartphone avec une connexion au Cloud pouvait être lourd de conséquences.

Il faut également ajouter à cela le fait que les conditions générales d'utilisation de ces nouveaux outils pleinement virtualisés sont des textes imbuvables dont personne ne prend jamais connaissance et généralement régis par des autorités bien souvent américaines qui peuvent avoir des approches de la vie privée bien différentes que celles que l'on peut se faire dans d'autres pays.

Bref, un reportage qui tente d'expliquer la situation : tout n'est pas noir, mais il faut être vigilant.

Un reportage disponible en relay pour ceux qui l'auraient manqué.

GMail : envoyer un mail sans email

Maintenant c'est possible, dernière amélioration en date proposée par Google : la possibilité d'envoyer un mail à un destinataire sans connaitre son adresse mail. 

Il y a une restriction cependant : il faut que le destinataire soit utilisateur de Google+, le réseau social de Google. Voilà peut-être une bonne occasion pour les personnes qui ni sont pas encore de vouloir s'inscrire.

Cet effet d'annonce aura donc peut-être un caractère incitatif, pour ceux qui n'y sont pas, à vouloir s'inscrire à moins que Google ne se décide à devenir le plus grand service d'annuaire mondial.

Ceci étant, le réseau social de Google possède déjà plusieurs centaines de millions d'utilisateurs et par voie de conséquence, nous sommes en présence d'un répertoire d'email plus que conséquent.

On peut donc envoyer un mail à toute personne possédant un compte Google+ sans connaître son email, cette adresse sera ensuite connue si la personne qui reçoit le message accepte de répondre.

Dans un sens, cela peut-être effectivement pratique mais cela pourrait aussi entraîner une certaine dérive pour ceux qui cherchent à récupérer des adresses mail facilement.

On voit aussi par là que Google tente de rapprocher son client Gmail et le réseau Google+.

C'est un peu la démarche inverse qu'avait entrepris Facebook à une époque, en donnant la possibilité à chaque utilisateur de se créer une email du type "@facebook.com" pour promouvoir son service de messagerie.

Qui a raison ? L'avenir nous le dira.

C'est peut-être également les premiers signes d'une évolution qui permettra que deux personnes puissent rentrer en communication sans vraiment se soucier du support qu'elles utilisent.

Les outils de communication évoluent : le sms pourrait se faire avaler par l'email ou par Hangout ou Messenger, l'email sera peut-être englouti par Google ?

Synology s'est invité au CES 2014

Synology était présent au CES 2014, peut-être un peu moins médiatisé que les gros ténors de la sphère technologique, un peu masqué derrière les fournisseurs de tablettes, smartphones et écrans dernier cri.

http://ces.cnet.com/8301-35291_1-57616735/synology-showcases-nas-diskstation-manager-os-5.0-at-ces-2014/

http://www.clubic.com/salon-informatique-tic/ces/actu-ces_2014_synology_presente_diskstation_manager_en_version_5_0_beta-611254.html

Synology qui produit principalement des NAS (Network Area Storage), ces espaces de stockage destinés aux entreprises comme aux particuliers était venu présenter notamment la dernière version de son système d'exploitation, la version 5 du DSM.

Cette nouvelle version devrait être disponible en version beta dès le mois de janvier.

Cette société présente dans le secteur depuis quelques années, propose des matériels fiables destinés au stockage de données.

Un de ses points forts également est de faire régulièrement évoluer son système d'exploitation, le DSM, qui fonctionne à la fois sur les dernières générations de matériel comme sur les matériels plus anciens.

Son DSM, l'OS des système propose également une quantité de fonctions qui peuvent être activées ou et qui permettent de proposer de multiples services bien au delà du simple serveur de fichiers. 

Une belle initiative qui mérite d'être soulignée. Quand c'est bien, il faut le dire.

Google veut faire entrer Android dans les voitures

Google a annoncé lundi, au CES 2014, son intention de faire entrer Android dans les voitures en passant un partenariat avec différents acteurs du domaine :

Google forme une alliance pour créer des voitures Android

Google : Android à bord dès 2014

Fort de son succès dans l'équipement des terminaux mobiles, smartphones et tablettes, avec son système Android, Google veut maintenant conquérir de nouveaux horizons. En effet, plus de 80 % des terminaux vendus aujourd'hui sont équipés du système Android, un secteur pour l'instant largement dominé.

Mais Google ne compte pas s'arrêter là. Il a déjà envisagé plusieurs autres applications pour son système à succès : des lunettes, les "Google Glass", pour ne citer que cet exemple.

C'est donc dans une logique d'expansion et peut-être également pour éviter que la concurrence ne s'installe que Google se lance donc dans ce nouveau créneau.

Bien qu'il s'agisse d'un nouveau secteur, Google possède déjà quelques éléments qui peuvent l'aider dans cette voie :

- un système de cartographie mondiale (Google Maps, Street View, Google Earth, ...) qui lui donne une très bonne expérience en matière de guidage pouvant s'appliquer tout naturellement au déplacement des véhicules.

- une expérience dans la conduite sans chauffeur avec ses "Google cars".

Que nous réservera donc l'interface Android dans le monde l'automobile ?

Certainement un apport applicatif visant à accompagner les voyageurs à tout niveau, mais également un interfaçage entre le conducteur, l'automobile et peut-être les concessions et garages qui échangeront des données techniques. L'idée est certainement aussi de transformer les voitures en "objets mobiles connectés" ou l'on pourra continuer à échanger des mails, surfer sur internet ou intervenir sur les réseaux sociaux. 

Attention cependant à garder de temps en temps un œil sur la route. 

En somme, les idées ne manquent pas et comme on déjà pu le voir dans d'autres secteurs, on peut s'attendre à ce que google nous sorte le grand jeu pour pouvoir s'imposer. Le domaine de l'automobile risque de se voir bouleversé dans les années à venir.

C'est bientôt les soldes ....

Les soldes démarrent mercredi prochain.

Alors, si vous n'avez pas dépensé tout votre argent pendant les fêtes de fin d'année, c'est l'occasion de se faire plaisir et de profiter de cette période de soldes pour obtenir l'article tant désiré que vous cherchez à  acquérir au meilleur prix.

C'est donc l'occasion grâce à l'informatique de pouvoir chasser la bonne promotion et de parcourir les différentes enseignes sans bouger de sa chaise et sans avoir à affronter la foule, pour obtenir ce que vous cherchez au meilleur prix.

Voici donc une liste de différents outils, services ou techniques qui peuvent nous permettre de gagner quelques euros. La liste n'est bien sûr pas exhaustive, libre à chacun de s'y prendre comme bon lui semble :

 - L'extension CouponsHelper pour le navigateur chrome qui affiche une liste de codes promotionnels pour un article chez un marchand.

- L'application Prixing pour android, qui en scannant le code barre d'un article recherche l'enseigne qui propose l'article au meilleur prix.

- L'abonnement à la newsletter sur les sites marchands qui préviennent lors de promotions.

- Les sites comparateurs de prix (TouslesPrix, AchetezFacile, ...). Attention les comparateurs ne sont pas complets car ils ont souvent des partenariats avec certaines enseignes. Il faut donc en utiliser plusieurs. Le comparateur TouslesPrix permet de renseigner une email pour être informé lorsqu'un prix baisse pour un article.

- Certains sites recensent les promotions lors des opérations de soldes (exemple : LesNumériques, Le journal du Geek, ...) 

- Sur certains sites marchands lorsque vous allez sur la page d'un article et que vous êtes connecté avec un compte client, sans aller plus loin, le marchand vous envoi souvent un petit code promotion, pour vous inciter à effectuer votre achat - c'est toujours quelques euros de gagnés.

- Des sites spécialisés et comparateurs permettent de suivre l'évolution des prix d'un article comme Priice watcher sur lequel je suis tombé dernièrement et qui a l'ai très efficace :

- Les sites spécialisés comme  Bons plans et astuces ou Radins qui regorgent de bons plans.

- Les sites qui recensent les codes de réduction comme : Bon code réduction , ...

- L'extension Shoptimate : Shoptimate

Lorsque vous êtes sur une page proposant un produit, l'extension vous signale automatiquement (sous forme d'une icône bleue dans la barre d'adresse) la disposition du produit dans d'autres enseignes avec la liste des prix, pour pouvoir choisir le meilleur prix.

A noter que l'extension est disponible pour les navigateurs Chrome, Firefox, Internet Explorer, Safari ou Seamonkey.

A utiliser sans modération.

Voilà donc quelques pistes, la liste n'est pas complète. Il est vrai que pour être efficace, il faut pouvoir consacrer du temps pour mettre en oeuvre une ou plusieurs des solutions citées ci-dessus mais le jeu en vaut parfois la chandelle. N’hésitez pas à proposer d'autres techniques ou astuces et, bonne chasse !